jeudi 28 juillet 2011

Menaces des risques

L'affreux de notre monde financier vient du fait que le "risque" est devenu l'objet le plus important pour admettre une valeur.
Ce faisant, le marché devient un porteur de mort, car à quoi bon, ce que je risque le plus, c'est de mourir.
Ce que je veux dire, c'est ceci: chacun d'entre nous voudrait fuir le risque, l'éviter, c'est naturel. Or, notre société marchande a fait du risque une marchandise qui s'échange. C'est fondamentalement une erreur, sauf si ce marché du risque est limité à un domaine bien déterminé dans lequel doit régner une éthique absolue. Ce domaine pourrait être celui de l'activité d'assurance.