lundi 28 janvier 2008

Générale d'embrouilles

A lire: le compte rendu du Comité de Direction de la Société Générale des œufs Embrouillés tellement y a des milliards d'€ qui fristouillent en s'envolvolant :
Standblog
et là:
Kelblog
à moins que là:
Labanane

Tout ça c'est que du n'importe quoi.
Pourquoi tu foure les biftons aux trous du 'c.
Hé l'andouille! Répond!
J'ai rien à dire, c'est ma fin qui commence, le début du commencement de
Déconne pas tu veux, tout t'attend.

samedi 26 janvier 2008

Chair de poulique


free music



Comment dire?
Une voix, enfin ça peut étreindre.
enfreindre le doux train-train du connard.
*

Comment dire?
Pas con à crever.
Serait Con de passer sans verser une larme, un torrent de larmes,
*
A LA CON
(Qu'on con se le dise)
*
Persiste et signe
*
[LE BUREAUCRATE ARRIVE ET DIT DIRTY:
"signature du quidam illisible"]

*
[-> du coup, AJOUTE LE BUREAUCRATE,
"ce document est nul. Au suivant!" <-]

vendredi 25 janvier 2008

1918

"Le général Ludendorff... n'était pas un Napoléon inspiré (cette guerre n'en connut dans aucun camp) mais un organisateur et un administrateur, un technicien ... consciencieux, infatigable et brutal."
Sébastien Haffner, Allemagne 1918 - Une révolution trahie, éd. Complexe, Bruxelles, 2001, p. 27.
*
Depuis la guerre 14, l'humanité s'est encastrée - fait castrer - dans le moule inhumain de la technique triomphante, de la gestion triomphante, de l'organisation.
C'est le règne de la brutalité dans la 'civilisation la plus haute' autoproclamée.
C'est l'ère de la "brutalisation du monde".
*
Après Ludendorff vint Eichmann qui, lors de son procès à Jérusalem, révéla qu'il était une fourmi sans esprit - comme des millions d'autres, de part et d'autre des frontières -, qu'il avait totalement intégré l'idée - fausse - qu'il n'était qu'un maillon d'une chaine qui devait tenir à tout prix: il n'est pas question d'être 'mailloin faible' - celui qui tergiverse, qui ose penser (le con) - : les ordres devaient être exécutés sans faiblir - c'est ça la virilité. Toute sa vie devait être engagée dans ce combat ( ne pas être celui qui rompt la chaine). Il n'y avait plus d'autre biotope.
Hannah Arendt a été vouée aux gémonies par nos grands esprits quand elle a dit avoir vu là l'extrême banalité du mal.
*
Allez voir - si votre connerie vous en laisse le temps - cette "prison experiment" qui en dit beaucoup sur moi, sur toi: voilà là moi en bourreau, voilà là moi en détenu détaché de toute humanité. C'est si vite arrivé, hier, aujourd'hui, demain - encore² et encore². Là-bas, ici, si près de nous.
*

dimanche 20 janvier 2008

L'avenir me poursuit

__Je fuis.
______L'avenir est là, devant moi!
____________________Il me poursuit.
__________________________J'avance en courant à reculons de peur de le croiser, terrassé, terrassier. A chier! Bam! Oh pardon! ploutch!?!

__________________________Tonnerre! Je vois la terre défiler sous mes pieds empressés.
___________Je fuis.

Qui luit? ____ Lui? ____ Moi!

Le fou du Roi à la truite (c'est toujours moi, je le revendique)

A la fin, Paul Grimault est vu dans son atelier.
Comment dire, c'est tellement aimable.
Tellement de beauté simple.
Tellement simplement.
Tellement de simplicité.
Que c'est compliqué de le dire bien



Le Fou du roi (Paul Grimault - 1987/88)
envoyé par montreuilparadise

jeudi 17 janvier 2008

Adorer

J'adore.
Je suis épuisé.
J'adore vivre.
J'en suis navré.
J'adore vivre cette vie comme elle vient.
C'est elle qui m'épuise.
J'adore vivre la vie comme elle vient et à chaque pas découvrir plus de bonheur possible, enfin de joie je veux dire.
La mort arrive. Elle est là.
Joie! Joie!Joie! Alleluia!
Non mais ça va pas? On avait convenu que ce blog-ci y déjantait complètement.
Ben oui, justement.
Comment ça justement?
Alleluia! Alleluia!
Oh! Oh! ça va, j'ai compris. Tu arrêtes de déconner s'il te plait!
J'adore!

samedi 12 janvier 2008

Carbo

Ce blog me dépasse. Pouce! Dépousse.
Je n'en peux plus, je suis complètement carbo.
Qui m'a carbo?
Jusqu'à nouvel ordre, je suis absent de toute déconnade :-( incapable, brûlé dans mon amour intérieur sans doute (quelle horreur,
déballer ça en plein public! quelle absence de manières, quelle indélicrassesse! prout pet pet! Oh pardon! Tiens, prends ça! Ouch! Pif! Aille! Croumbplocbang! Gasp (sanglots longs, violons, bercer bébé, langes monotones).

jeudi 10 janvier 2008

Atteindre eux

Me taire

Ne rien dire, ne rien penser

Ecouter, _____

et peut-être enfin --------

----------------------entendre

Ceux qui m’aiment,

Un jour les aimer eux----------------------

Ω

mercredi 9 janvier 2008

Reperdu de connard

Je me promène dans ce blog hagard, vidé de quoi, vidé de quoi?
Encore une fois vide, perdu d'axe, descendu par les flammes, en flegme.
Plus de respire, tout trop dur.
Je ne suis plus que du connard concentré de trou noir, qui absorbe sans fin l'être des autres après le mien pas propre.

mercredi 2 janvier 2008

Narcisse nique aussi

Narcisse nique aussi. Il ne fit pas que se voir, il se voit faire: il nique aussi.

Connard, rentre chez toi! Laisse-moi me mirer niquant en paix.

Tu ne nique pas en paix! Tu baise bien mais, te mirant, tu manque le but: tu te voix faire alors que tu devrais aimer.

Connard, tu me fais la morale. Attend que je te bute, que je te baise à ton tour, petit trou duc.